juin 2022

Wang Yan Cheng à Art Basel 2022

Du 14 au 19 juin 2022 se déroule Art Basel. 
La galerie Lelong & Co y présentera Wang Yan Cheng ainsi que d’autres nombreux artistes parmi lesquels : Pierre Alechinsky, Leonardo Drew, Jean Dubuffet, Günther Förg, Ficre, Ghebreyesus, Samuel Levi Jones, Konrad Klapheck, Ana Mendieta, Jaume Plensa, Arnulf Rainer, Zilia, Sánchez, Nancy Spero, Antoni Tàpies, Mildred Thompson, Barthélémy Togu.
 
Voici deux des toiles exposées à Art Basel 

février 2022

Exposition Wang Yan Cheng à Paris

Depuis le 13 janvier et jusqu'au 12 mars, la dernière exposition personnelle de Wang Yan Cheng se trouve à la galerie Lelong & Co., une célèbre galerie à Paris qui se situe au 38 avenue Matignon (8e arrondissement).

L’exposition présente 13 des dernières œuvres du peintre, qui incarnent la dernière exploration et réflexion du peintre sur la peinture. L’ancien Français Premier ministre de Villepin, l’ancien ministre Français de la Culture Jean-Jacques Aillagon (voir ci-dessous), et de nombreux collectionneurs d’art, critiques, experts en art, etc. sont venus voir l’exposition.

Si vous ne pouvez pas vous y rendre (38 avenue Matignon, 75008 PARIS), ci-dessous vous pouvez voir deux toiles. 

Cependant, la galerie Lelong & Co vous les montre tous sur son site en cliquant sur le lien suivant : ici.

De plus, après les vues de ces tableaux, vous pourrez afficher une visite virtuelle qui vous donnera un bel avant goût.

janvier 2022

Wang Yancheng : le mage et la liberté par Dong Qiang

« Je ne t’ai fait ni céleste ni terrestre, mortel ou immortel, afin que de toi-même, librement, à la façon d’un bon peintre ou d’un sculpteur habile, tu achèves ta propre forme. » — Jean Pic de la Mirandole, Discours sur la dignité de l’homme.

« J’espère atteindre un stade où personne ne pourra dire comment mes tableaux sont faits. »  — Pablo Picasso

En 2008, Cercle d’art a inclus Wang Yancheng dans une collection prestigieuse où il côtoie des maîtres de la peinture moderne. J’ai été invité à écrire un texte pour lui en français. Visiblement, une formule dans cet article a plu. Elle est même devenue pendant un temps l’une des étiquettes permettant aux Occidentaux de le reconnaître : Wang Yancheng, « le mage qui a su retirer l’horizon ».

Retirer l’horizon est une belle image que j’avais empruntée à Henri Michaux pour désigner le fait que l’artiste se dégage de la perspective linéaire et focale des traditions picturales occidentales, permettant ainsi à l’espace d’entrer dans l’abstraction. Dans le même article, j’ai également comparé les peintures de Wang Yancheng et celles de Zao Wou-ki et de Chu Teh Chun - certains le considéraient comme le « successeur » de ces deux derniers, sans même pouvoir constater combien ils sont déjà si différent l’un de l’autre. J’ai constaté une différence fondamentale entre lui et Zao Wou-ki par exemple : L’abstraction de Zao Wou-ki poursuit un « regard ailleurs », un « espace de signes qui serait immémorial, hors temps, voire hors espace », alors que l’abstraction de Wang Yancheng est « concrète et visuelle ».

Plus de dix ans ont passé. Lorsque je me retrouve dans l’atelier de Wang Yan Cheng, face à ses dernières peintures, je me suis naturellement souvenu de ce jugement d’alors. De tous points de vue, les aspects « concrets et visuels » se sont renforcés. Si, à l’époque, il y avait encore besoin qu’un critique de bon cœur aide à voir cette différence, aujourd’hui, celle-ci paraît d’une grande évidence. On peut facilement constater que sa peinture est entrée dans une nouvelle étape qui l’éloigne de ses prestigieux amis et maîtres.

Nombreux sont ceux qui considèrent que les œuvres abstraites, si répandues, si vulgarisées aujourd’hui, constituent un art qui aurait existé depuis une éternité, et qu’elles ont même commencé depuis longtemps leurs déclins. En réalité, même dans un Occident moderne, où les diverses tendances d’art font légion, la peinture abstraite a connu un difficile processus de conquête. A Paris, pourtant réputé avant-gardiste, il a fallu attendre 2006, soit il y a à peine quinze ans, pour qu’une exposition à résonance synthétique et rétrospective, intitulée « Abstraction lyrique », puisse avoir lieu au Musée du Jardin du Luxembourg, permettant une consécration à ce courant.

Du point de vue d’une classification large, au moins en apparence, l’abstraction de Yan Cheng est évidemment une sorte d’abstraction « chaude ». Il ne serait pas absurde de la classer dans l’ « abstraction lyrique », bien que l’artiste lui-même le réfute. Cependant, maintenant que le mot « abstraction » est galvaudé, et que des œuvres à prétention « abstraite » fleurissent un peu partout, l’important n’est plus de la classer dans une telle ou telle catégorie d’abstraction, ni même de discuter si ses œuvres sont vraiment abstraites ou pas, mais d’essayer de comprendre ceci : cet artiste si accompli, si éminent, qu’est-ce qu’il poursuit dans sa démarche si cohérente et si évolutive? 

En même temps, si l’on écarte trop tôt le mot « abstraction », nous allons perdre vite un bon moyen d’entrer dans son monde. La peinture, en raison de sa planéité et de sa représentation spatiale, est souvent trop vite classée comme un art lié à l’espace, en opposition à des arts dits « temporels » comme la musique et les récits. En réalité, la planéité et la bi-dimensionnalité de la peinture lui donnent plutôt une « spatialité » plus grande que celle des arts qui évoluent dans l’espace tridimensionnel réel (architecture, sculpture, etc.), avec une grande dimension d’imaginaire, dans lequel le temps et l’espace sont indissociables. Au fait, même les sculpteurs et architectes modernes et contemporains sont fort conscients que leurs arts ne concernent pas que l’espace. Les œuvres récentes de Sui Jianguo en sont un bel exemple. Par conséquent, la temporalité qui apparaît dans les peintures est aussi l’un des aspects les plus fascinants de la peinture, même si cette temporalité s’exprime parfois par « instant » ou « éternité », deux pôles extrêmes du temps. Et l’« évolution » d’un peintre en elle-même est aussi la meilleure incarnation du temps dans ses œuvres.

Dès lors, la question se pose autrement : quelles sont les évolutions visibles de Wang Yan Cheng ces dernières années?

D’emblée, on s’aperçoit que ses œuvres n’ont pas renoncé à l’abstraction, elles ne constituent ni une « abstraction après abstraction », ni une abstraction « post-moderne ». Il est à remarquer que, parmi les nombreux artistes chinois contemporains, la connaissance de Wang Yan Cheng sur la peinture moderne occidentale est exceptionnelle. Cela a un lien évident avec son long séjour en France. Il continue d’ailleurs à dialoguer de façon quasiment quotidienne avec les plus grands de la peinture moderne occidentale. Par conséquent, par rapport à de nombreux artistes contemporains chinois, sa posture créative n'est pas destructrice ou subversive, mais toujours avec des dialogues, riche de choix et d’adhésions, c’est-à-dire « symbiotique ».

Ce qui est gratifiant, c’est que cette attitude de dialogue et de symbiose - qui a fait dire autrefois que ses œuvres étaient proches d’un tel ou tel autre, appartenant à une telle ou telle tendance, etc. - devient une vraie force avec le passage du temps. Ses œuvres évoluent dans un sens qu’elles indiquent par elles-mêmes, et deviennent plus vigoureuses, plus internationales et pour ainsi dire plus universelles.

Que signifie au vrai « retirer l’horizon »? Une fois l’horizon retiré, la plupart des gens – pour revenir au texte fantasque et fantastique d’Henri Michaux - ressentent une sorte de malaise extrême : ils ne savent plus comment survivre dans un espace sans horizon, ils supplient le mage de leur rendre l’horizon : lorsque l’horizon reviendra, l’espace sera restauré à son état d’origine, et la vie aussi sera restaurée, comme avant. Tout comme on le demande souvent aujourd’hui : après la pandémie, peut-on retrouver la vie d’avant?

On peut donc se demander : faut-il rendre l’horizon? La réponse de Wang Yan Cheng est évidemment non. Chez lui, retirer l’horizon non seulement ne rend pas les gens mal à l'aise, mais les fait entrer dans un état plus harmonieux et plus euphorique. C’est là peut-être la vraie magie de Wang Yan Cheng.

Une telle magie n’est pas seulement due à une parfaite connaissance de la nature, mais résulte de la liberté. Liberté de perception, liberté de vision. En fait, la simple distinction du « froid » et du « chaud » ne peut distinguer l’abstraction de tendance géométrique et celle de tendance lyrique. Par contre, les « points, lignes et plans » posés par Kandinsky comme fondements restent la meilleure voie pour distinguer les diverses tendances de l’abstraction.

De ce point de vue, nous pouvons rapidement voir que les œuvres de Wang Yan Cheng sont différentes de nombreuses « abstractions lyriques » car il n’utilise jamais à la légère les points, les lignes et les plans en n’insistant que sur l’un de ces éléments.

Chez lui, les points, les lignes et les plans sont toujours dans une combinaison vive. La transition entre les points, les lignes et les plans n’apparaît jamais dans un état brusque et net, mais toujours dans une fusion subtile et ceci sur toute la toile. De sorte que ses peintures sont toujours pleines de magnificence macroscopique et de vivacité microscopique.
Cette caractéristique peut même le distinguer des œuvres avec qui elles semblent être les plus proches, celles de Zao Wou-ki : le même sens d’ensemble, la même compréhension macroscopique, pourtant si vivant et si agile dans les détails microscopiques.

De même, il ne s’appuie pas sur le pouvoir des points pour étayer l’image comme l’a fait Pollock, ni construire l’espace avec des lignes comme l’a fait Fontana, ni utiliser des plans de couleur pour remplir la toile à la manière de Poliakoff ou de Nicolas de Staël.

Dans la construction de l’espace, la raison pour laquelle Wang Yan Cheng peut retirer l’horizon n’est pas qu’il ne soit pas sensible à l’horizon. Au contraire, il est plus sensible à la profondeur et à l’immensité que les autres artistes. Peut-être sait-il profondément qu’il vient du pays de « la perspective aux points dispersés » et qu’il lui est impossible de se fixer sur un point d’observation. Une personne vivante, - qui marche, s’arrête et regarde autour de lui, - une personne pleine d’expériences visuelles personnelles et de charges culturelles, en d’autres termes, une personne « existante », comment peut-elle être fixée et confinée à un seul point pour construire une sorte d’espace physique? En fait, même en Italie, pays natal de la perspective traditionnelle, la construction de l’espace ne se limite pas à une perspective linéaire avec un seul point de fuite. Dès Léonard de Vinci, dans La Joconde, le fond derrière la belle épouse a été créé dans une manière « atmosphérique ». Ce genre de perspective est aussi appelé « perspective aérienne ». Cependant, il faut la distinguer de la perspective surplombante depuis le ciel, c’est pourquoi l’appellation de « perspective atmosphérique » semble plus appropriée. Ce type de perspective met l’accent sur les changements subtils des couleurs et des nuances, sur le clair-obscur, et crée une impression d’espace et de profondeur fondée sur le lointain et le proche. Une telle perspective est au fait très proche de la « perspective aux points dispersés » de la Chine ancienne, en particulier dans les peintures de paysage avec des nuages ​​et des montagnes à l’encre chinoise. Et cette approche est déjà une manière de « retirer l’horizon », en transformant l’horizon en une sorte d’infini, ou de « vide » : l’admiration de Zao Wou-ki pour Mi Fu n’était pas sans raison.

C’est tout comme dans la peinture moderne, l’étape importante que Cézanne a franchie : le contour et le modelage tridimensionnels se transforment en une sorte de « modulation ». La montagne perd la dureté de ses propres rochers et commence à scintiller, à trembler, dans la lumière comme dans l’ombre, au loin. Dans de nombreuses formes géométriques sont injectés l’« esprit » et les rayonnants « auras ». À l’ère de la « reproduction mécanisée » ou de la « reproductibilité technique » que définissait Benjamin - l’ère de la disparition d’ « aura » - la peinture moderne a su libérer les humains de la machinerie et de la reproduction, et a réinjecté l’esprit dans le monde. Par conséquent, aussi postmoderne ou contemporaine que soit la société où nous nous trouvons, l’héritage de la peinture moderne est toujours indispensable pour les vrais artistes. Il reste une source inépuisable pour le maintien de la magie et la formation du mage.

Une telle « modulation » rapproche la peinture de la musique. Lorsque j’ai hasardé la question pour savoir s’il avait une expérience de musicien, les yeux de Wang Yan Cheng se mettent à briller. Tout comme je l’ai deviné, il avait sept ans d’expérience musicale en tant que violoniste et a même dirigé des performances musicales. Les couleurs et matières, les points, lignes et plans, avec des touches de pinceau, obéissent strictement au principe d’harmonie. Que ce soit intentionnel de la part de l’artiste ou par une sorte de correspondance automatique entre les couleurs mêmes, chaque tableau se transforme en un champ de musique. C’est un monde échappé aux corrélations naturelles des signes, car tout comme le dit Roland Barthes, seule la musique n’est pas un système de signes, elle peut rompre la relation indissociable entre le signifiant et le signifié, qui comme l’indique Saussure, sont comme l’envers et l’endroit d’une même feuille de papier. C’est cette musicalité, cette « insignifiance » signifiante qui apporte une totale liberté à l’abstraction. Nous pouvons comprendre pourquoi le véritable inventeur de l’abstraction moderne n’est pas seulement Kandinsky, mais aussi Kupka : le lac ondulant qui sortait des touches de piano – le magnifique tableau Touches de piano-lac est la première œuvre de l’abstraction moderne (1909), antérieure à celles de Kandinsky - a dès le début indiqué des possibilités infinies d’abstraction.

J’ai mentionné les touches de pinceau. Pourtant, dans la peinture de Wang Yan Cheng, des touches ne sont pas que de pinceau. Avec un engagement total du corps, comment la main, - les paumes et les doigts – peut-elle résister à l’envie de toucher directement la toile ? Cela peut être une sorte de pincements ou d’appuis, tout comme en jouant avec un instrument de musique, mais aussi des légers touchers ou des caresses sur la toile. Lorsque Dai Wangshu, dans un de ses plus beaux poèmes, touchait toute la terre de Chine avec sa « paume endommagée », il savait que les techniques du « symbolisme » qu’il avait apprises dans la lointaine France était incorporée totalement en lui et qu’elles étaient devenues ses propres moyens pour prendre la connaissance du monde réel de la Chine. De même, dans ce monde où la pandémie continue à faire rage, dans un monde imprévisible où l’horizon semble être bouché, ou bien au contraire, les perspectives semblent être partout c’est-à-dire nulle part, la paume du peintre-mage Wang Yan Cheng sonde le monde microscopique et en même temps, il médite sur le monde futur. Les techniques de peinture abstraite occidentale apprises en France sont transformées en l’expérience personnelle du peintre pour faire face au monde et reconstruire le monde. Pour emprunter une belle formule de Picasso, « les concepts et les émotions sont finalement unis dans ses tableaux. Quoi qu’il en soit, ils ne peuvent plus échapper aux tableaux. Ils forment un tout intime avec les tableaux, et leur existence ne peut plus être distinguée. »

Ainsi, grâce à la liberté de ce peintre-magie, on voit la vitalité d’un monde nouveau. On entrevoit même un certain optimisme, ténu, vague mais ferme.

janvier 2022

La galerie Lelong expose Wang Yan Cheng

Du 13 janvier au 12 mars 2022, la Galerie Lelong & Co à Paris, montre quelques œuvres de WANG Yan Cheng.

Cette exposition rassemble des œuvres produites en 2020-21 à Paris. La flamboyance des pigments associée à l'énergie des traits permet de qualifier son travail de « cosmogonie de couleurs ».

Quelques unes des toiles exposées :

Sans-titre, 2020.

Sans-titre, 2021

Sans-titre, 2021

septembre 2021

"Paysages", collection Pinault chez KERING

En septembre 2021 (les 18 et 19), Kering a participé à la 38e édition des Journées européennes du patrimoine et ouvert les portes de son siège situé au 40 rue de Sèvres à Paris 75007 (ancien hôpital Laennec). Comme chaque année depuis 2016, la Collection Pinault s’associe à cet événement et présente une exposition de cinq peintures monumentales de la Collection Pinault, dans la chapelle de l’ancien hôpital Laennec. L'exposition devrait se prolonger jusqu'au mois de juin 2022.

Intitulée « Paysages », cet accrochage inédit fait dialoguer une œuvre de très grand format de Paul Rebeyrolle, deux toiles d’Hélène Delprat ainsi que deux tableaux de Wang Yan Cheng.

Par-delà les générations, les origines et les inspirations des trois artistes, ces peintures-manifestes de paysages, en format panoramique, font émerger et défiler avec puissance des mondes oniriques et lyriques, une myriade de signes offerts à l’imaginaire et aux regards des visiteurs.

Les deux toiles monumentales de Wang Yancheng apparaissent comme en dialogue avec le cosmos, elles donnent à voir collisions entre agrégats et mouvements, pigments et lumière, fluidité et densité. En alchimiste des couleurs, Wang Yancheng peint un panorama intérieur plus qu’un paysage.

Une vidéo de Wang Yan Cheng a été réalisée pour l'occasion :

vidéo de Wang pour l'exposition de la collection Pinault.

septembre 2021

Wang Yan Cheng présenté à Art Basel

L'Art Basel est l'une des plus importantes foire internationale d'art du monde pour l'art moderne et contemporain. 
Un grand nombre d'artistes, tels que les grands maîtres de l'art moderne et la dernière génération de stars émergentes, est représenté dans plusieurs sections de l'exposition. 
Il s’agit là du rendez-vous incontournable du marché de l'art, où se rencontrent chaque année riches collectionneurs, artistes, galeries et professionnels du monde de l'art. 
Renseignements sur Art Basel, ici : www.artbasel.com/basel
Cette année, la foire est programmée à Bâle du 21 au 26 septembre, avec
- les 21 et 22 septembre, deux journées réservées aux VIP, 
- suivies de l’ouverture au public du 23 au 26 septembre. 
Quelques toiles de Wang Yan Cheng seront présentées à Art Basel par la Galerie Lelong & Co 
(13 Rue de Téhéran, 75008 Paris www.galerie-lelong.com/fr).

août 2021

Wang Yan Cheng à Pekin

Après un petit séjour en Italie (Milan puis les lacs italiens), Wang Yan Cheng est en Chine à Pékin (Beijing) pour quelques mois.

Il nous fait parvenir quelques photos de lui devant des toiles récentes et d'autres plus anciennes.


février 2021

Les musées italiens rouvrent à partir du 1° février 2021

Le lundi 1er février, la Galerie nationale d'art moderne et contemporain rouvre ses portes au public.
 
Cette réouverture est dédiée à Sandra Pinto décédée en novembre 2020, historienne de l'art elle a été à la tête du GNAM de 1995 à 2004). 
Cependant, l'exposition micro-macro, organisée par Maria Giuseppina Di Monte et Gabriele Simongini, devrait encore être visible pendant quelques temps dans la galerie. Elle présente (voir les billets précédents) les dernières œuvres de l'artiste chinois Wang Yan Cheng, internationalement reconnu pour sa synthèse originale entre la tradition orientale et l'expérience de la peinture occidentale. 

janvier 2021

Première toile de l'année. 2021开年的首幅作品

Les premiers travaux de 2021

janvier 2021

Belle et heureuse année 2021

décembre 2020

Joyeuses fêtes

décembre 2020

Italie : expositions Wang Yan Cheng reportées

Les deux expositions,  Macro e micro à Rome et Cosmogonie di colori à Florence sont fermées au public en raison de la pandémie du COVID-19. Une prolongation d'ouverture est probable.

novembre 2020

WANG Yan Cheng à Florence, exposition Cosmogonie di colori

  
Wang Yan Cheng expose à l'académie des arts du dessin de Florence (Accademia delle Arti del Disegno) du 5 novembre au 29 décembre. 
L'exposition, nommée Cosmogonie di colori, présente une vingtaine œuvres dans lesquelles l'artiste a su trouver une synthèse entre la peinture orientale et occidentale par l'utilisation de la force disruptive de la couleur.


Une vidéo (en italien) réalisée en novembre est disponible en cliquant sur le lien ici, elle montre quelques œuvres de l'artiste ainsi qu'un interview de Wang Yan Cheng. 
Pour voir un diaporama des toiles cliquez sur la vignette ci-contre :

 

 

octobre 2020

WANG Yan Cheng à Rome, exposition Micro e macro

 

Wang Yancheng expose à Rome. 
L'exposition, nommée "Micro et Macro", se tient à la Galerie Nationale d'Art Moderne et contemporain (GNAM) depuis le 12 octobre 2020 jusqu'au 10 janvier 2021. L'exposition est organisée par Mesdames les commissaires Maria Giuseppina Di Monte et Gabriele Simongini. 
  
Maria Giuseppina Di Monte (commissaire de l'exposition) dit de l'exposition : « Elle présente des œuvres de grand format, pour la plupart rectangulaires, qui ne trahissent pas le concept classique de la peinture, au contraire elles le poursuivent sous la bannière de la conscience que l'histoire et la mémoire sont des valeurs fondatrices de notre civilisation: de l'Occident aussi bien que de celle Oriental. Wang Yancheng organise la surface de la toile en créant un microcosme autonome et autosuffisant: quelque chose que nous ne reconnaissons pas à première vue puisque le tableau ne nous apparaît que comme un agrégat de taches colorées mais à y regarder de plus près ces agglomérations matérielles prennent une vie propre et indépendante, comme étaient des sécrétions, des excroissances, des filaments, qui recouvrent la toile donnant vie à des formes organiques reconnaissables comme si elles étaient observées au microscope. D'où le titre de l'exposition : "Micro e Macro". »

Galerie Nationale d'Art Moderne et contemporain :

Cette galerie nationale, musée d'état, est située Viale delle Belle Arti, à Rome . Elle abrite une collection importante consacrée à l'art italien et étranger du XIXe siècle à nos jours. La collection permanente de peintures, dessins, sculptures et installations (près de 20000 œuvres) montre les principaux courants artistiques des deux derniers siècles, avec des artistes italiens tels Giacomo Balla, Umberto Boccioni, Alberto Burri, Antonio Canova, Giorgio de Chirico. 
Le musée expose également de nombreuses œuvres d’artistes étrangers tels que Georges Braque, Alexander Calder, Paul Cézanne, Gustave Courbet, Edgar Degas, Rrose Sélavy, Gustav Klimt, Yves Klein, Vincent van Gogh, Cy Twombly.
Le musée a organisé de nombreuses expositions temporaires, dont notamment celles de Pablo Picasso, Piet Mondrian, Jackson Pollock, Alberto Burri, Piero Manzoni. 

La Galerie Nationale d'Art Moderne et contemporain propose maintenant l'exposition personnelle de Wang Yancheng qui promet d'être passionnante.


Les images des salles de la galerie :

Une vidéo réalisée en novembre par la galerie est disponible en cliquant ici ou sur la vignette à gauche ; elle montre les œuvres de l'artiste. Cliquez sur la vignette de droite pour visualiser un reportage de la TV italienne sur l'expo. 




En images, les toiles de Wang Yan Cheng :
Cliquez sur l'image ci-contre à droite pour voir une vidéo affichant des toiles de Wang Yan Cheng exposées à Micro e Macro :